mercredi 13 février 2013

Conférence : L'iconographie érotique antique.

                                        Il y a quelques mois de cela, je vous avais présenté un numéro des "Dossiers d'Archéologie" consacré au sexe à Rome (ici). Une large partie de cette revue était l’œuvre de Cyril Dumas, conservateur des Musées des Baux de Provence. Si je reviens aujourd'hui sur le sujet, c'est à l'occasion d'une conférence que l'auteur a donnée Samedi 9 Février au musée archéologique de Nîmes : "L'iconographie érotique antique". Encore que notre intervenant lui-même avoue, sous forme de boutade, que l'intitulé de cette rencontre a surtout été choisi pour attirer le plus grand nombre (avec succès, puisque la salle était bondée !) et que "L’amour et l'humour dans l'art romain" aurait été plus adéquat...

Monsieur Cyril Dumas.


                                        L'érotisme dans la Rome antique, pour les non-initiés, se résume souvent aux fresques de Pompéi. Parce qu'elles sont spectaculaires et frappent les sens, mais aussi car la censure chrétienne qui s'est prolongée jusqu'à nos jours a occulté le sujet et, le recouvrant d'une chape de plomb, en a empêché l'étude dans son ensemble, excitant encore plus l'imagination et donnant lieu à toutes sortes de généralisations et d'élucubrations, faisant de ces représentations le réceptacle de notre propre conception d'un sexualité marquée par la morale judéo-chrétienne. Cyril Dumas, qui a exploré de nombreuses collections à travers l'Europe, a élargi l'analyse et, au-delà des fresques, a étudié statues, bijoux, objets de la vie quotidienne, etc. pour proposer une autre conception de cet érotisme, qu'il nous expose à travers deux thématiques : Priape et les saynètes.

PRIAPE - OU TROP, C'EST TROP.

 

Priape de la Maison des Vettii, portant des fruits sur le plateau d'une balance, son sexe faisant contrepoids.

                                        L'une des figures que l'on associe spontanément à la sexualité, c'est bien sûr celle de Priape. Ce Dieu, fils des amours d'Aphrodite et de Zeus (ou de Dionysos, selon d'autres légendes), est la victime de la jalousie d’Héra envers la déesse de l'amour - soit à cause de sa beauté, soit à cause de l'infidélité de son époux. Héra, jette en effet un sort au rejeton de sa rivale, et voilà comment Priape se retrouve affublé d'une difformité obscène : un sexe énorme, en perpétuelle érection. Cet attribut lui vaut de devenir le Dieu de la fécondité et de la fertilité, au sens large du terme puisqu'on l'associe notamment à la nature et à la végétation.

                                        On le retrouve ainsi dans les jardins de l'antiquité romaine, où il est symbolisé par un bâton planté dans la terre, dont on peint en rouge l'extrémité. Il protège alors les récoltes et punit les voleurs éventuels, qu'il viole ou assomme avec son sexe. Il est aussi souvent montré portant des végétaux dans un panier ou dans les pans de son vêtement, ce qui le relie au culte bacchique.

                                        Priape, souvent assimilé à Pan, est semble-t-il le Dieu le plus représenté de l'antiquité et son culte se répand dans tout l'Empire, où il fusionne parfois avec d'autres divinités locales. Paradoxalement, on ne lui connait aucun temple.

                                        Dans l'antiquité, un sexe de petite taille est un critère de beauté et il est un signe d'élégance et de tempérance. A contrario, un sexe trop gros ou trop long pourrait même, selon Aristote, être une cause de stérilité. L'organe démesuré de Priape, s'il lui vaut d'être un Dieu de la fertilité, fait paradoxalement son malheur : abandonné, rejeté à cause de cette difformité, il le condamne aussi dans sa sexualité. En effet, grotesque et obscène, il est incapable de séduire. Cette contradiction trouve son illustration dans la légende de la nymphe Syrinx : poursuivie par Pan, elle fuit sur les berges du fleuve Ladon et échappe au désir sexuel du Dieu en étant changée en roseaux. Pan, déçu, est cependant charmé par le bruissement du vent dans les roseaux et il les assemble alors pour garder une trace de la jeune fille, inventant du même coup la flûte qui porte son nom.
"Un jour, le dieu Pan, qui hérisse sa tête de couronnes de pin, descendant du Lycée, la vit, et lui adressa ce discours…." Mercure allait le rapporter. Il allait dire comment la nymphe, insensible à ses prières, avait fui par des sentiers difficiles jusqu'aux rives sablonneuses du paisible Ladon; comment le fleuve arrêtant sa course, elle avait imploré le secours des naïades, ses sœurs; comment, croyant saisir la nymphe fugitive, Pan n'embrassa que des roseaux; comment, pendant qu'il soupirait de douleur, ces roseaux, agités par les vents, rendirent un son léger, semblable à sa voix plaintive; comment le dieu, charmé de cette douce harmonie et de cet art nouveau, s'écria : "Je conserverai du moins ce moyen de m'entretenir avec toi"; comment enfin le dieu, coupant des roseaux d'inégale grandeur, et les unissant avec de la cire, en forma l'instrument qui porta le nom de son amante." (Ovide, "Les Métamorphoses", I - 689.)
Pan et Syrinx, mosaïque du Musée de Naples. (Photo via Mary Harrsch.)


                                        Ici abstinent malgré lui, Priape n'est donc pas un Dieu de la sexualité. Chez lui s'incarne le fascinus (phallus en érection) par opposition à la mentula (phallus au repos) qui symbolise la continence. Fascinus, un terme qui renvoie à la magie (fascinum), en ce qu'il y a dans la procréation une part d'irrationnel, quelque chose d’incompréhensible qui échappe à l'Homme. Cette acception magique fait du Dieu un protecteur, un symbole apotropaïque et pour tout dire superstitieux.

                                        Parfois représenté sous une forme anthropomorphique, ce personnage obscène se prête à merveille à la caricature : il en devient alors grotesque et provoque le rire - un rire là encore apotropaïque, destiné à repousser le mauvais œil. Il est même souvent réduit à sa principale caractéristique, un phallus en érection doté de pattes, que l'on peut voir sur de nombreux bas-reliefs, sur des lampes à huile et autres objets.

Phallus protecteur chassant le mauvais œil - Bas-Relief de Leptis Magna
Il est alors généralement associé à d'autres éléments, vulgaires ou humoristiques comme par exemple un nain, un coq, un ou des sexes surnuméraires ou encore à des sonnailles (tintinabulla), destinés à accroître la charge protectrice en repoussant les esprits et le mauvais sort. L'image de Priape devient de plus en plus abstraite au fil du temps.

Tintinnabula. (via revoada.net)


                                        Sous ces diverses formes, on le retrouve partout, et en particulier dans tous les endroits dangereux et où l'on se sent vulnérable : aux carrefours, sur les ponts, aux portes des villes dont il assure la sécurité, sur les frontières de l'Empire (comme par exemple sur le mur d'Hadrien.) Très souvent lié à l'eau, il figure près des fontaines, sur les aqueducs ou dans les thermes (où l'homme nu est sans défense). 


Mosaïque de thermes.

Phallus sur un pavé d'une route de Pompéi.
On a beaucoup glosé sur les phallus sensés indiquer la direction des lupanars : ce n'est qu'un mythe, assure Cyril Dumas, preuves à l'appui. Ce qui n'exclut pas la présence de ces signes aux abords de ces lieux, où ils évitent alors au client les maladies vénériennes, tout comme ils empêchent les naissances illégitimes lors de rapports sexuels. Et, au sujet des lupanars, signalons que celui de Pompéi est le seul bâtiment de ce type qui nous soit connu, grâce à cette fameuse éruption volcanique qui lui a permis de traverser les siècles sans dommage... Dans les autres cas, on a déduit la présence d'un de ces bordels de la découverte de phallus géants - prémisse erronée, comme nous venons de le voir.

Vestige retrouvé dans une boulangerie de Pompéi. (Photo via armillum.com)

                                        Mais Priape n'est pas seulement présent dans l'architecture, et il occupe une bonne place dans des objets de la vie quotidienne, et ce dans tous les milieux, des plus riches aux plus pauvres. Les amulettes représentant un phallus sont nombreuses, qu'elles soient en os, en or, en bronze, en argent, etc. Elles sont généralement munies d'un trou, dans lequel on sertissait une pierre, vraisemblablement de couleur rouge. Certains de ces bijoux se présentent sous la forme d'amulettes triphaliques , associant cette représentation de Priape à un poing fermé (encore un signe de protection magique). Ils sont portés par les petites filles et les jeunes femmes, à qui ils assurent autant la survie que la fécondité. On observe également cette image sur les harnachements des chevaux, animaux précieux dont on prend grand soin.

Amulettes phalliques - Musée Saint-Rémi de Reims.

Lampes à huile.
                                        La représentation se voit aussi de façon plus discrète, sur des lampes à huile, des statuettes, des vases, des amphores, etc. Ses vertus protectrices s'étendent ainsi au commerce et à l'artisanat et, lorsque le symbole n'est pas directement moulé dans l'objet, ce sont des esquisses ou des graffiti qui y sont apposées par le propriétaire.


Graffiti sur une pièce de vaisselle sigillée. (©C. Dumas)

                                        Enfin, on remarque parfois des pierres ou des galets dont la forme naturelle, évoquant un sexe turgescent, a tellement impressionné un de nos chers Romains qu'il l'a tout bonnement rapportée chez lui, y voyant un signe de la présence de ce Priape protecteur...


                                        Après l'antiquité, le Dieu sera tout naturellement victime de ce membre trop démonstratif, et il sera alors émasculé, ses statues et représentations étant allègrement mutilées. Parmi les exemples choisis par l'intervenant, je ne résiste pourtant pas à la tentation de citer ce Priape du Braghettone, que l'on a affublé d'une feuille de vigne afin de dissimuler cette nudité trop spectaculaire ! 
Priape du Braghettone.

SCÈNES SEXUELLES : AU-DELÀ DES APPARENCES.


                                        En dépit de l'idée reçue bien ancrée dans les mentalités, pas de scène d'orgies débridées dans les saynètes sexuelles représentées sur les fresques, lampes à huile et autres supports. Les ébats qui y sont figurés montrent la plupart du temps deux, parfois trois personnages , on y voit même de temps à autre des animaux, mais quitte à vous décevoir, vous n'y trouverez rien d'ouvertement lubrique. Pas de parties fines ni de zoophilie ! En réalité, l'iconographie montre des scènes théâtralisées, dont la signification va bien au-delà du simple érotisme ou de la pornographie.

Pan découvrant Hermaphrodite - Pompéi, Maison des Dioscures.

                                        En premier lieu, elle évoque des récits mythologiques et autres ébats divins, qui renvoient davantage à une identité culturelle et à la superstition qu'à la religion proprement dite. Outre Priape / Pan, symbole de bestialité (ici représenté avec Hermaphrodite qui, de toute évidence n'a pas les faveurs de lui plaire...),  voyez ci-dessous l'illustration du viol de Léda par un Zeus transformé en cygne.


                                        On rencontre fréquemment des trios acrobatiques : une femme, dos à son amant, faisant le poirier, tandis que celui-ci lui saisit les jambes et qu'un petit personnage accompagne son mouvement - suggestif - de bassin. Il s'agit en fait d'une scène métaphorique, où un petit Éros vient au secours du couple en position périlleuse !

                                        Il existe aussi des représentations renvoyant à "L’ Âne d'Or" d'Apulée, roman du IIème siècle mettant en scène un aristocrate, transformé en âne par sa maîtresse, et qui vit une succession d'aventures burlesques mêlant magie, sexe et violence et qui le mettent successivement en contact avec des brigands, des esclaves, des prêtres, des commerçants...

Lampe à huile montrant un âne.

                                        Plusieurs mises en scène, récurrentes, sont présentes dans tout l'Empire : riches en détails et à peu de choses près identiques, elles racontent une histoire, un épisode dont la représentation doit se lire avec un certain regard pour être compréhensible dans tous ses sous-entendus. Elles n'ont pas vocation à provoquer l'excitation ni à illustrer un hypothétique kama-sutra romain : loin d'être des débauchés, les Romains respectent en fait un code moral strict, un ensemble de règles régissant  la société et limitant leur comportement, toujours dans un souci de tempérance. Ces images ont donc généralement pour but la dénonciation de mœurs jugées déviantes, de la transgression des interdits menaçant la société, notamment par le biais de la caricature ou du détournement. Parmi les exemples cités par Cyril Dumas, on trouve des satires sociales :

Ici, le mari surprend son épouse en pleine action avec son amant - selon la loi, il a le droit de tuer les deux dévergondés.
©C. Dumas.


Sur une autre lampe, une douce épouse prend soin de son vieux mari souffrant... tandis qu'un esclave l'assaille par derrière.

Sur cette intaille, une esclave (reconnaissable à son chignon) nous est montrée en pleine action avec son maître - mais en pleine lumière, ce qui est contraire à l'usage qui veut que l'acte sexuel s'accomplisse dans le noir.

©Scala Florence /  Ministero dei beni e le Attività Culturali.

Autre scène très représentée, celle-ci montre un couple s'ébattant dans un lit luxueux, l'homme relevant la stola de sa partenaire. La stola étant l'apanage de l'élite féminine, il s'agit donc d'une noble matrone, surprise dans une situation compromettante.

Vénus portant la stola et la palla.

                                        Il existe aussi des exemples de satires politiques : on connaît de nombreuses lampes à huiles montrant une naine arborant un chignon, assise sur un phallus terminant la queue d'un crocodile. Il s'agit en fait de la Reine Cléopâtre, que Pline surnommait la Reine Prostituée (Regina meretrix), en train de s'accoupler avec l’Égypte. D'autres images la montrent dominant César et Antoine : ceux-ci, montés sur une barque, luttent contre une Cléopâtre / crocodile tentant de les faire chavirer...



Nain ithyphallique (en érection) (©jastrow via wikipedia.)




                                        Certaines de ces représentations, lorsqu'elles jouent un rôle magique ou protecteur, revêtent une fois encore un caractère trivial, l'humour et la grossièreté étant des marqueurs prophylactiques. Ainsi, les illustrations de nains dans des positions plus ou moins acrobatiques, jouant souvent des castagnettes, qui montrent une caricature destinée à amuser le spectateur. Ou l'affranchi, arborant le volumen propre à son nouveau statut et un organe particulièrement développé.


©C. Dumas.

L'humour n'est donc pas absent de cet art érotique, dont il constitue même souvent l'une des caractéristiques : on peut voir une femme se moquant de la taille de son amant, pourtant juché sur un marchepied.
©C. Dumas.


Certaines saynètes sont même légendées : la lampe à huile montrant une gladiatrice s'écriant  "Attention ! C'est un bouclier !" représenterait en fait Epia, l'épouse volage d'un sénateur, particulièrement attirée par les beaux combattants de l'arène, et raillée par Juvénal. Autre exemple : ici, le couple est surmonté de l'inscription : "Tu Sola Nica" - "toi seul triomphe."

©C. Dumas.


                                        Il semble que cette iconographie concerne avant tout la noblesse, puisqu'il s'agit d'un art noble que l'on peut admirer dans les villas les plus cossues, mais aussi sur des objets d'apparat, comme par exemple de la vaisselle ouvragée : selon notre conférencier, ces plats et assiettes servaient sans doute lors des mariages, alors que les convives multipliaient plaisanteries grivoises et chansons licencieuses devant les jeunes époux. Le registre comporte en effet, comme nous l'avons vu, un code précis qu’il faut savoir décrypter. Il stigmatise donc bien un certain nombre de comportements, dont doit se garder l'élite de la société romaine.

EN CONCLUSION : IDÉES REÇUES BATTUES EN BRÈCHE.


                                        En marge de sa conférence, Cyril Dumas a apporté quelques précisions sur la prostitution, grand réservoir à fantasmes pour les amateurs d'antiquité. Il s'agit selon lui d'une hypocrisie de la société romaine, et il s'appuie entre autres sur cette anecdote, mettant en scène notre ami Caton l'Ancien : un jour, ce vieux rabat-joie revient du forum lorsqu'il croise un jeune homme, sortant du lupanar. Celui-ci, tout honteux d'être surpris devant ce lieu de débauche, se cache le visage, mais Caton l'apostrophe et, loin de le blâmer, le félicite : "Courage, enfant, tu fais bien de fréquenter des femmes de rien, et de ne pas t’en prendre à celles qui sont honnêtes !" Le lendemain, rebelote : à la même heure, Caton revoit son jeune ami, ressortant du même lieu, cette fois ostensiblement. Mais  au lieu de le complimenter à nouveau, notre vieux barbon s'exclame : "Je t’ai dit d’aller chez les filles, c’est vrai, mais pas d’habiter chez elles" !"

Exemple de "sprintia".

                                        Ainsi, la prostitution est tolérée en tant que "soupape de sécurité" : elle est un moindre mal qui permet aux hommes d'assouvir leurs pulsions sans déchoir ou attenter à l'honneur d'une femme libre, mais ne doit pas être un prétexte à se laisser dominer par ses sens. Autre idée fausse battue en brèche, les spintriennes, ces jetons que l'on dit parfois destinés à payer les services d'une prostituée, seraient en fait de simples jetons de jeux : et paf ! Au temps pour la légende !

                                        En guise de conclusion, nous en venons tout naturellement à Ovide, grand poète de l'amour s'il en est. S'il fut exilé par Auguste sous le prétexte de son "Art d'Aimer", ce ne serait pas tant à cause du dernier livre composant l'ouvrage, et qui parle de sexualité de façon explicite, mais plutôt pour le reste du texte, énumération de conseils destiné au jeune homme désirant séduire et se faire aimer des belles Romaines. L'austère Auguste n'aurait donc rien trouvé à redire aux ébats eux-mêmes, mais aurait beaucoup moins bien réagi à l'incitation à une frivolité amoureuse qui irait jusqu'au mensonge et à la tromperie, corruption bien plus dangereuse. L'amour plus dérangeant que le sexe ? voilà de quoi rassurer les âmes les plus fleurs bleues...

                                        On devine à travers mon bref compte-rendu combien cette conférence fut intéressante, et d'une richesse telle qu'elle aurait mérité de durer plus longtemps. De fait, et malgré tout le talent de Cyril Dumas, je ne peux m'empêcher de regretter que certains thèmes n'aient pas été davantage approfondis. Espérons donc que cet intervenant remarquable, sympathique, passionné et disponible, capable d'aborder un tel sujet avec autant de sérieux que d'humour et sans jamais tomber dans la vulgarité, reviendra nous voir dans le cadres d'autres conférences.

En attendant, si vous désirez en savoir plus, je vous recommande :
  • à nouveau "Dossiers d'Archéologie : Sexe à Rome, au-delà des idées reçues." - H.S. 22 - Éditions Faton - 9€

  • et "Le Sexe Et L'Effroi" de Pascal QUIGNARD.Folio Poche n°2839  - 8€10. Lien ici. - Remarquable essai, érudit et d'une profondeur quasi philosophique, sur la sexualité antique vue entre autres à travers les fresques de Pompéi.  
Les articles et ouvrages de Cyril Dumas :

  • C. Dumas (2012) - Nouvelles réflexions sur les objets grivois du quotidien - Instrumentum n°35 juin 2012
  • C. Dumas, J.-M. Baude (2007) -  L’art érotique en Gaule romaine, Sexologies -Vol. 16 -n°2, pp.144-147, Ed. Elsevier Masson SAS -ISSN : 1158-1360- 2007
  • C. Dumas (2005) - La Gaule : un goût de paradis - Histoire Antique n°21, septembre
  • C. Dumas (2005)  - L’art érotique en Gaule romaine du IIe siècle av. au IIIe siècle apr. J.-C - L’archéologue n°80, octobre- novembre
  • C. Dumas & Jean-Michel Baude (2005) -  L’érotisme des Gaules, Ed. Cazenave Musée des Baux, 55p. 150 ill. coul. ISBN 2-9525039-0-7 
 
Pour en savoir plus, vous pouvez contacter Cyril Dumas : cyrildumas@yahoo.fr


    

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